Korgaïa

Rien ne remplace un bon bouquin entre les mains ? Les lecteurs attachés à la version imprimée de leurs romans devraient se réjouir : après son apparition en numérique sur Amazon, Corso - La conjuration Mare Nostrum fait maintenant l'objet des soins de l'imprimeur. Sortie prévue début mai.

En attendant la sortie effective en librairie*, je vous ai concocté cette petite présentation vidéo qui devrait donner un avant-goût des aventures de Corso aux nouveaux venus.

La sortie est imminente, maintenant, pour Corso, le roman. Du moins en version numérique (on en reparlera très bientôt, promis). Et même à ce stade, on retrouve les traditionnelles questions, du genre : ...et la couverture, ça va ? Qu'est-ce qu'elle inspire ? Est-ce qu'elle peut donner envie de lire l'histoire ?...

En écho à ces questions, que je m'étais posées il y a déjà quelques temps dans ces pages (voir épisode précédent), voici la toute dernière mouture de cette couverture de premier roman. Émouvant, non ? (si, si, vous pouvez cliquer l'image !)

Finalement, c'est comme pour le choix d'un papier peint (un peu plus comme ci, un peu moins comme ça...) si ce n'est que, cette fois, on n'est plus le seul à qui cela doit plaire... mais alors vraiment plus.

Alors finalement, voilà ! Corso, le roman, dernière version (ta-daa !). Voilà pourquoi une fois de plus, amis lecteurs, posons-nous la question cruciale : Et donc, à part ça... euh... la couverture, qu'est-ce que ça dit ?

En général, certains choix éditoriaux concernant un roman se font en collaboration avec l'éditeur. Le titre lui-même peut être changé ou modifié, et c'est d'autant plus le cas avec la couverture. C'est bien souvent le premier contact avec le bouquin. Il faut que ça plaise.

N'empêche, en tant qu'auteur on a envie d'imaginer ce que ça pourrait donner, avant même d'avoir l'occasion d'en discuter avec un éditeur. Tenez, par exemple...

Une fois la dernière touche apportée à la seconde partie du roman de Corso : "l'île aux espagnols", les premiers éditeurs ont été approchés.

J'ai choisi, pour ce premier roman, une approche qui me permet de rester en phase avec mes habitudes de textes courts : deux parties, presque des novellas, qui se succèdent pour donner un récit complet, mais pas très long au final (environ 200 pages).

Quel accueil recevra notre héros ? La première version sera-t-elle classique ou numérique ? Les paris sont ouverts.

Il est peut-être un peu tôt pour vous en décrire le contenu sans risquer de vous frustrer en attendant la sortie du bouquin. Dans l'intervalle, je vous proposerai plutôt de nous intéresser aux nouvelles qui tournent autour du personnage. A suivre dans ces pages...